La souplesse fait partie des qualités physiques. Donc, au
même titre que la force, la rapidité ou la vitesse, on devrait
systématiquement l'améliorer ou l'entretenir chez toute personne
pratiquant une activité physique.
L'objectif principal que l'on vise lorsque l'on veut développer la
souplesse de quelqu'un est l'augmentation de l'amplitude ou de
la mobilité articulaire des mouvements ou tout simplement
une certaine aisance dans leur exécution.
Les techniques utilisées sur le terrain sont nombreuses. Leur diversité
est certes une bonne chose, mais elle entraîne quelquefois une certaine
confusion chez les entraîneurs et surtout des erreurs dans leur mise en
pratique sur le terrain. Il semble donc intéressant d'expliquer les fondements
physiologiques sous-jacents à l'application des techniques
visant à améliorer la souplesse. Pour cela, il faut faire appel à
quelques notions d'anatomie, de biomécanique des tissus et de
neurophysiologie. Partant de là, il sera possible d'en comprendre les
effets et d'en tirer les grands principes à respecter pour être
efficace dans notre action.
Certaines pages vont subir de grosses révisions car de nombreuses publications ont apporté un nouvel éclairage sur les effets des étirements sur la performance musculaire montrant à l'évidence que les premières conclusions rapportées sur les aspects négatifs liés à la pratique de ces exercices sont à aborder avec prudence du fait qu'elles sont très loin des pratiques de terrain. Merci de revenir régulièrement pour voir si les mises à jour ont été mises en ligne ou abonnez-vous tout simplement à la lettre de diffusion pour recevoir un message lorsque ce sera fait.
NB : Les pages de cette section ne sont plus disponibles.
Je m'en excuse au près de ceux qui souhaitent avoir les informations récentes sur ce sujet.
Pour mieux comprendre, je renvoie le lecteur à l'édito du 21/12/2008 concernant le plagiat de cette partie de mon site.
La révision de cette partie ne sera disponible que dans la prochaine version de Sciensport à accès protégé.